enfance

“Il fait nuit sur le quai”, douleur d’une photo perdue

Un orphelin perd la seule photo de sa famille dans un incendie. Il se dit alcoolique, déprimé, paranoïaque; pour un équilibre aussi instable, la perte du seul lien avec le passé est une déchirure déchirante. Son sentiment d’identité se brise, le laissant désespéré. Mais le slameur Konan fait trouver au protagoniste la force de croire en lui et de dire “Je resterai fort comme une forêt de sons. Je vais me lever et me rencontrer. Je me lèverai comme une seule chair et surmonterai cette impasse”.

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